Je mourrai de trop de désir,
Si je la trouve inexorable ;
Je mourai de trop de plaisir,
Si je la trouve favorable.
Ainsi, je ne saurais guerir
De la douleur qui me possède ;
Je suis assuré de périr
Par le mal ou par le remède.
Mardi 16 décembre 2008 à 20:49
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