dreamoflove711
juste about love
Jeudi 3 mai 2012 à 0:15
Jeudi 3 mai 2012 à 0:08
Comme une bouffée de chagrin, Ton visage me dit plus rien,
Je t'appelle et tu ne viens pas, Ton absence est entrée chez moi.
C'est un grand vide au fond de moi, Tout ce bonheur qui n'est plus là,
Si tu savais quand il est tard, Comme je m'ennuie de ton regard.
C'est le revers de ton amour, La vie qui pèse un peu plus lourd.
Comme une marée de silence, Qui prend ta place et qui s'avance.
C'est ma main sur le téléphone, Maintenant qu'il n'y a plus personne,
Ta photo sur la cheminée, Qui dit que tout est terminé.
Tu nous disais qu'on serait grands, Mais je découvre maintenant,
Que chacun porte sur son dos, Tout son chemin comme un fardeau,
Les souvenirs de mon enfance, Les épreuves et les espérances
Et cette fleur qui s'épanouit sur le silence...
Ton absence
Je dors blotti dans ton sourire, Entre le passé, l'avenir,
Et le présent qui me retient, De te rejoindre un beau matin.
Dans ce voyage sans retour, Je t'ai offert tout mon amour,
Même en s'usant l'âme et le corps, On peut aimer bien plus encore.
Bien sûr, là-haut de quelque part, Tu dois m'entendre ou bien me voir,
Mais se parler c'était plus tendre, On pouvait encore se comprendre.
Mon enfance a pâli, déjà, Ce sont des gestes d'autrefois,
Sur des films et sur des photos, Tu es partie tellement trop tôt.
Je suis resté sur le chemin, Avec ma vie entre les mains,
À ne plus savoir comment faire, Pour avancer vers la lumière,
Il ne me reste au long des jours, En souvenir de ton amour,
Que cette fleur qui s'épanouit sur le silence...
Ton absence.
Mercredi 2 mai 2012 à 23:50
Il pleut - c'est merveilleux. Je t'aime.
Nous resterons à la maison :
Rien ne nous plaît plus que nous-mêmes
Par ce temps d'arrière-saison.
Il pleut. Les taxis vont et viennent.
On voit rouler les autobus
Et les remorqueurs sur la Seine
Font un bruit ...qu'on ne s'entend plus.
C'est merveilleux : il pleut. J'écoute
La pluie dont le crépitement
Heurte la vitre goutte à goutte ...
Et tu me souris tendrement.
Je t'aime. Oh ! ce bruit d'eau qui pleure,
Qui sanglote comme un adieu.
Tu vas me quitter tout à l'heure :
On dirait qu'il pleut dans tes yeux.
Mercredi 2 mai 2012 à 23:33
Voilà combien de temps que tu es reparti,
Tu m'as dit cette fois, c'est le dernier voyage,
Pour nos cœurs déchirés, c'est le dernier naufrage,
Au printemps, tu verras, je serai de retour,
Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour,
Nous irons voir ensemble les jardins refleuris,
Et déambulerons dans les rues de Paris,
Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus,
Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà,
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois,
A voir Paris si beau dans cette fin d'automne,
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne,
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine,
Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne,
Ton image me hante, je te parle tout bas,
Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi,
Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus,
J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours,
J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour,
Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir,
Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs,
Je reprendrai la route, le monde m'émerveille,
J'irai me réchauffer à un autre soleil,
Je ne suis pas de celles qui meurent de chagrin,
Je n'ai pas la vertu des femmes de marins,
Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus...
Samedi 31 mars 2012 à 0:13
finit
toujours
par
partir
en
embrassant
la
mauvaise
personne.